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Les chefs d’entreprise adorent le MARATHON DES SABLES : cette année, ils constitueront plus de 10% du peloton. Ils s’élanceront le 7 avril au milieu de 1000 autres concurrents pour parcourir 250 km à pied, en 6 étapes et en autosuffisance alimentaire, dans le Sahara sud-marocain.
« Les empreintes que vous allez laisser dans les Sables du désert marocain vont guider vos pas dans le reste de votre existence : il y a un avant et un après MARATHON DES SABLES. » Et Patrick BAUER, créateur de l’épreuve et toujours à sa tête pour cette 34e édition, sait de quoi il parle : il a vu défiler plus de 20 000 personnes issues du monde entier et venues se confronter à la course légendaire, le MARATHON DES SABLES.
Parmi ces explorateurs désertiques, chaque année, on retrouve une présence importante de chefs d’entreprise (11% pour cette 34e édition). Il faut dire que le MARATHON DES SABLES a de quoi séduire : c’est le premier raid désertique au monde, et son principe a fait date : 250 km à parcourir à pied en 7 jours (6 étapes), en autosuffisance alimentaire. Un confort minimum – une tente pour 8 concurrents et pas de commodités – et une dizaine de litres d’eau par jour : c’est tout ce que les marathoniens du désert reçoivent lors de leur périple. Un dénuement qui impose un retour aux sources bienfaisant pour les plus stressés de la vie, parmi lesquels, bien entendu, les chefs d’entreprise.
Sandra OLANO (FRA), Directrice Générale d’un groupe de transport routier de 2300 personnes, mariée, trois enfants, cumule les casquettes. Pour elle, le MARATHON DES SABLES représente une véritable parenthèse dans sa vie hyperactive : « C’est un moment à moi pour faire le vide et me retrouver dans une bulle sans avoir à penser mais juste à vivre le moment. »
Et puis le MARATHON DES SABLES représente aussi une leçon de vie sur laquelle s’appuyer de retour au bureau : il faut anticiper les difficultés (se préparer, choisir son équipement, sa stratégie nutritionnelle…), mais aussi réagir en fonction des impondérables (des ampoules, une chaleur abominable…). Au cœur du désert comme au sein d’une société, il faut franchir les étapes les unes après les autres, en gardant à l’esprit le but ultime : parvenir ou about de la course, ou faire tourner son entreprise.
Enfin le MDS impose à chacun, quel que soit son rôle au sein de la société, l’humilité la plus totale : au cœur du désert, en pleine tempête de sable, les barrières tombent. Vous n’êtes plus un chef d’entreprise, vous êtes l’un des huit gars en train d’empêcher votre tente de s’envoler, ni plus ni moins. Voilà ce qu’ils viennent chercher, ces chefs d’entreprise : la vie rendue à son plus simple appareil.
37e édition ~ 21 avril au 1er mai 2023 ~ 250 km en 7 jours
Sahara Marocain
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