Marathon des sables

Portraits

Mérile ROBERT (FRA)

« Ça fait partie du jeu de découvrir sur place »

Participer en équipe au MARATHON DES SABLES est un vrai plus : non seulement vous partagez l’aventure avec des amis, mais en plus vous partagez votre préparation, et vous bénéficiez des conseils des plus expérimentés. Et dans l’équipe GROUPAMA, un concurrent expérimenté il y en a de taille : Mérile ROBERT (FRA). Avec 4 MDS au compteur et très prochainement un cinquième, le Français de 49 ans, ingénieur chez GROUPAMA, sait parfaitement comment bien vivre sa course : « Un des secrets c’est de partir sur un rythme vraiment tranquille sur la première étape. Il y a une phase d’acclimatation qu’il faut gérer. Bon, après quand on veut accrocher une bonne place ce n’est pas pareil, c’est à fond dès le début et rester au contact le plus longtemps possible ! »

Mérile, tout le monde le connait au MDS, non seulement parce qu’il dispose d’un palmarès très sérieux, mais aussi parce que c’est un gars ultra sympa qui garde le sourire aux lèvres, même si ce n’est pas toujours facile. 33e en 2012 pour sa première participation, 12e en 2016, il déroche une superbe 3e place en 2018. Mais en 2019, à vouloir trop bien faire, il s’est « planté » : « J’ai voulu en ajouter en pensant que je pouvais faire encore mieux, mais je suis arrivé au départ un peu fatigué. J’ai voulu perdre beaucoup de poids et je l’ai payé. Dès les premiers étapes je sentais que je n’étais pas vraiment dans le rtyme… Mais je reste très satisfait ! »

Comment s’entraîne un gars capable d’accrocher un podium sur le MDS ? « Je cours un peu tous les jours, mais cette année je fais d’autres activités, vélo et musculation. Et puis on fait des blocs avec les collègues, des week-ends avec deux sorties de 40 km trail et plage, des tests de liophilisés, de matériel, on dort dans des conditions spartiates… » Il faut dire que l’équipe GROUPAMA 1 préfère ne rien laisser au hasard : « On va essayer de jouer le podium même s’il y a deux grosses équipes marocaines… »

Le meilleur souvenir de Mérile sur le MDS ? En 2018 où il termine troisième : « Sur l’étape longue, la journée s’était très bien passée, le Péruvien avait craqué, j’avais repris du temps sur EL MOUAZIZ, il y a eu une grosse charge émotionnelle à l’arrivée. » Tous ces souvenirs, Mérile les partage avec les petits nouveaux qui intègrent l’équipe : « Je coache un peu les collègues qui le font pour la première fois. C’est normal que les anciens transmettent aux nouveaux, mais il ne faut pas tout leur dire non plus, ça fait partie du jeu de découvrir sur place. »

Merile ROBERT

Et malgré son statut de « champion », Mérile sait parfaitement se mettre au niveu des autres : « On a des gens sportifs et d’autres beaucoup moins. En voyant les images en interne, les collègues se disent ‘pourquoi pas moi ?’, ça crée une émulation. Le MDS, c’est une course vraiment accessible, même pour un bon marcheur c’est largement faisable. Il faut juste être rigoureux. »

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