DIFFICILE MAGNIFIQUE GÉNIAL

Difficile, extrême, formidable, magnifique, génial : les superlatifs fusent pour qualifier le 38^e MARATHON DES SABLES LEGENDARY. Témoignages.

Mohamed FANDI (D245-MAR)

« Je suis Marocain, c’est mon pays, mais je suis de Casablanca et maintenant j’habite à Chicago, je n’étais jamais venu dans le désert. Il n’y a pas un moment meilleur que celui-là. L’organisation est incroyable. »

Solenn REGNE (D463-FRA)

« C’était l’expérience la plus difficile de toute ma vie, mais quand on arrive, il n’y a rien de plus beau. J’y crois même pas. Il va me falloir un moment pour réaliser ce qui vient de se passer. C’était long ! Je ne voyais pas la fin arriver. Je n’imaginais même plus l’arche. Et la dernière ligne droite où tu vois l’arche depuis 10 ans, et plus t’avances plus elle recule. Et d’un coup elle est là. J’y crois pas. Je veux vraiment aller au bout. Je n’en ai pas bavé comme ça pour ne pas avoir la médaille. »

Mohammed RAHMOUN (D6-MAR)

« C’était difficile. Le paysage était formidable. Quand on était au-dessus des montagnes, on a pris un peu de temps pour savourer, c’était magnifique. L’organisation est là à chaque checkpoint pour nous aider, c’est vraiment nickel. »

Jenna LADD (D208CAN)

« Le sommet de la première montagne, c’était vraiment superbe, un endroit magnifique. Merci pour ce parcours ! »

Christian HARDENBERG (D616-DEU)

« Je suis arrivé vers minuit et demi. C’était incroyable, j’ai adoré, de bout en bout. J’ai marché presque tout le temps. Parfois j’étais tout seul au milieu du désert, le prochain coureur 1 km devant, le suivant 1 km derrière. C’était juste moi, le ciel et le désert, et j’ai vraiment adoré. »

Stéphanie TASSIN (D579-FRA)

« C’était super beau, mais l’après-midi à partir de 15 h il a fait super chaud. J’ai marché. C’est pas la peine de prendre un risque. Je suis arrivée vers 22 h. Il faisait encore super chaud. La dernière portion, on voit le bivouac mais on n’y arrive jamais. Mais c’était top ! Les descentes dans les dunes, j’adore ! »

Catherine QUENET (D757-FRA)

« J’ai passé l’étape longue, et quand je pense à ce qui nous reste, je me dis que je vais y arriver. J’ai 67 ans, je ne referai sûrement jamais plus un truc comme ça. C’est fou d’être ici. »

Marc STAMPFLER (D801-FRA)

« Ça se passe merveilleusement bien. Bien sûr que ça tire, mais on est très heureux. Dans la nuit, le ciel, c’était magique. »