Marathon des sables

Portraits

Cécile VASMER (FRA)

« Je ne sais pas comment mon corps va réagir »

Cécile VASMER (FRA) est une novice sur le MARATHON DES SABLES ; elle participera pour la première fois au MDS The Legendary en avril prochain. Et 240 km à parcourir dans le Sahara sud-marocain en 5 étapes, c’est intimidant : « J’ai entendu parler du MARATHON DES SABLES il y a quelques années, je me disais que c’était complètement inaccessible. Mais les photos, vidéos et témoignages et le livre de Monika NICOLLE – Histoire d’un MARATHON DES SABLES – m’ont fait très envie. » Et puis Cécile rencontre Anouck, une participante de l’édition 2022 : « Ce qu’elle raconte de son expérience a vraiment l’air extraordinaire. Les paysages, les rencontres, le partage, l’aventure, le dépassement de soi, c’est ça qui me donne envie. Mais avec la chaleur et l’effort intense sur plusieurs jours, je ne sais pas comment mon corps va réagir. »

La trentaine, Cécile habite Lyon et est ouvrière sur une ligne de montage de moteurs. Ses horaires de travail décalées lui permettent de trouver du temps pour s’entraîner en journée. Elle réussit à courir quatre fois par semaine, et de pratiquer un peu de renforcement musculaire. Sportive dans sa jeunesse, d’abord de l’athlétisme, puis tennis, volley-ball, football, hockey sur roller, Cécile s’est remise à courir il y a une dizaine d’années. Puis… Petit problème : « Accident bête, fracture du talus pendant les vacances, et quatre ans de coupure… J’ai découvert l’escalade pendant cette période, et puis je me suis dit que je pouvais quand même courir, même avec une cheville moins mobile. » Et c’est l’enchaînement : un premier semi-marathon, un deuxième, et l’envie de faire plus. « J’ai couru la Saintexpress en décembre 2022, puis mon premier marathon en avril, les 100 km de Millau fin septembre, et ce sera la Saintélyon à la fin d’année. Puis le MARATHON DES SABLES en avril 2024. »

Il faut dire que Cécile avait la voie toute tracée, avec son papa amateur de courses d’ultra-endurance. « C’est un bon modèle ! Mais je crois que je manque un peu de lucidité. » Sa course la plus dure jusqu’à présent ? « Quand j’étais jeune, mon premier cross typé trail. J’ai fait la première montée en courant à fond. Cramée directement. Je n’avais pas compris le principe de marcher pendant une course : premier abandon ! » Depuis, Cécile a compris tout l’intérêt de la marche, et nous ne doutons pas un instant qu’elle saura mettre toute son expérience au profit de son objectif sur le MDS 2024 : « Prendre du plaisir et être Finisher ! »

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